Le voyageur du temps ! Sur les chemins de nos ancêtre !

mardi 30 mars 2010

<<< les Pierres d'ica ? >>>


Photo 1 Voici Canipierre

Photo 2 voici serpent pierre

samedi 27 mars 2010

<<< Le dernier forgeron de mon village ! >>>


la bâtisse du forgeron !

l'enseigne du forgeron et son savoir faire !

Le forgeron !

Imagination absolu.
Au rythme de l’onde de vie.
Sous les coups de marteaux.
le bruit raisonnent encore aujourd’hui.

Le forgeron de mon village.
Forgeais avec son cœur.
Le fer du bonheur avec ardeurs.
Avant de le mettre sous le sabot du cheval.

L’homme de bon voisinage.
Forgeais la joie, dans son sillage.
Nostalgique histoire de mon village.
J’entends les sons de ces coups de masses.

Par tant d’ouvrages, féeriques.
Il n’a pas fait d’armes.
Il était simplement un artiste.
Maréchal ferrant, sculpteur d’arts.
Dans son atelier noir et magique.

Il a gravé dans la pierre, son savoir faire.
Pour le bonheur des êtres et des bêtes !

Texte du, voyageur des arts (José Tilliet)
Écrit le 27.03.2010

vendredi 26 mars 2010

<<< Coucou ! >>>



Coucou !

Je ne suis pas l’oiseau de la forêt.
Je suis une petite fleur des champs.
Je ne chante pas, par temps clair.
Je fleuris pour vous annoncer le printemps.

Je pousse dans les le creux des fossés.
Pendant que l’autre s ‘amuse dans les bois.
Je ne sais pas me cacher.
Ont me cueilles quelques fois !

J’en soleil votre appartement.
Mais j’aimerais que l’on me voie jamais.
Comme l’oiseau chanteur dans les branches.
Pour vivre ma vie, en regardant le soleil.

Texte: le voyageur des
arts ! (José Tilliet )
Écrit: le 26. 03.2010

mercredi 24 mars 2010

<<< Ma langue au chat >>>



Ma langue au chat !

Au détour d’un virage
Mes yeux en quête de curiosités
Mon attention fut attiré par cette plaque
À l’entrée d’une maison aux grilles fermé

Je ne comprend pas cette inscription
L’origine et la définition de ces mots
Quel mystère cache cette rédaction
Pourtant je suis sur, que ce n’est pas une maison close

Que veux bien dire Fifounerie ?
Est-ce le nom d’un chien ?
Est-ce le non d’un canaris
Est-ce le nom d’un chat ?

Là ! Je donne ma langue au chat


Auteur : le voyageur des arts (Tilliet José )
Écrit le 24.03.2010

samedi 20 mars 2010

<<< Un petit clin d’œil au printemps >>>


Toc ! Toc ! Toc ! Voici le Printemps !

Reflets dans l'eau



Dite le avec les fleurs !


Un petit clin d’œil au printemps.


Premier jour du printemps.
Laisser loin derrière l’ hivers.
Après la pluie viens le beau temps.
Pour réchauffer nos cœurs et nos vieilles chaumières.

Le vent du printemps arrive en souriant.
En effleurant le gazon fleuris de pâquerettes.
Il vient ouvrir la porte de l’espérance .
En chantant une chanson coquine, aux belles demoiselles coquettes.

Dans peu de jours le coucou chantera.
Dans les bois on l’entendra .
Du haut de la cime des arbres il interpréteras.
La chansons annonçant la chance, elle arrivera.

Si dans vos poches un peu de monnaies .
Se ballade aux grès de vos pas, en entendent le coucou.
Un dicton de nos ancien , au plus loin de notre ère.
Dit que vous serez riche toute l’année, à tout les coups.

Mais là ! Je ne sais pas ?
C’est à vous de voir !
Promenez vous dans les bois,
Peut être, que vous croirez mon histoire !

Auteur : le voyageur des arts (Tilliet José )
Écrit le 21.03.2010

mardi 16 mars 2010

Hommage à ma mère >>>




Hommage à ma mère

En prenant la photo de cette vieille boite aux lettres,
j’ai recherché le courrier que ma mère m’envoyais,
dans certaines régions ou je me trouvais.
j’avais conservé ces lettres dans une vieille valise en carton.
Que depuis j’en avais presque oublié l’existence.
Cette histoire don je n’aime pas me souvenir
Remonte à mes 17 ans et six mois. Je venais de terminer,
l’école professionnelle, avec mon cap en poche,
De retour dans mon foyer, j’ai trouver un emploi de menuisier
six mois après, mon patron me licenciait
Avec pour explication : que je ne savais pas travailler
Et, il n’avais pas le temps de m’apprendre le métier correctement
Le soir quand j’ai annoncé cette mauvaise nouvelle à mes parents
Il y a eu une altercation verbal, avec mon père.
Sous la colère.
J’ai pris quelques affaires et je suis partis sur les routes
Je venais d’avoir 18 ans ce qui me laissait le droit d’aller ou je voulais
Sans but précis comme un oiseau blessé
Ce périple à duré environs trois mois
Pour subsisté j’ai travaillé dans quelques fermes,
Contre un peu d’argents, le couverts et le couché.
J’ai laissé ma famille longtemps sans nouvelles.
Jusqu’au jour ou le hasard de mes pas mon porté, dans le territoire de Belfort,
Et ou j’avais posé mes valises, pour un temps,
chez des gens qui m’avais pris en sympathie,
Dans cette ville inconnue, bien sur je ne restais pas sans rien faire
Mais c’ étais la misère. Puis un jour j’écrivis de nouveaux à ma mère
Ou elle pouvais me répondre à cette nouvelle adresse
Une semaine après, je recevais sa lettre en réponse à la mienne.
Elle me disais qu’elle m’avait trouvé du travail
Qu’elle était malade et devais se faire hospitalisé
Elle voulait que je revienne et faire la paix !
Avec cette personne qui était très cher à son cœur
Je n’est pas réfléchie, je suis revenu chez moi
J’ai fais la paix, j’ai travaillé pendant 30 ans
Sur le lieu de travail que ma mère m’avait trouvé.
À cette époque, pour ma maman, j’ai fais l’effort de revenir,
Mais ! J’ai été bien mal récompensé, je crois !
Parce que 1 ans après mon retour cette maman que j’adorais
Est partis dans le royaume des cieux
Emporté par la maladie.
Je n’ai jamais regretté d‘être revenue à temps.
Pour l’accompagné avant son dernier voyage.
Je l’avais fais pour elle, rien que pour elle.
Maintenant, il me reste le doux souvenir, l’écriture de ces lettres !
Ou elle me disait qu’elle m’aimait !

Cette infime partie de mon histoire et de ma vie
est extrait du livre que j’ai écrit voila 4 ans
Don le titre est :::: Sur les traces du temps

Il relate mon histoire à travers
la vie des paysans en bourgogne
Dans le sud du Morvan !
Un endroit ou la vie est sereine, silencieuse
Ou la violence na pas d’emprise sur les hommes
Je pourrais dire une autre dimension, un espace de vie,
que la société actuel n’a pas encore détruit.
Il est aussi un hommage à ma mère défunte.
Parti bien trop tôt ! Elle est resté à tout jamais dans mon cœur !

samedi 13 mars 2010

<<< Ma vénus >>>



Ma vénus !

Mes pas m’ont porté, jusqu’aux pieds de cette déesse.
Pure et sainte, comme la vierge bénis.
Le temps n’a pas terni ses courbes sveltes.
En pierres blanche, aux couleurs mélancoliques.

Fée idyllique, ton regards porté ver le ciel,
Joue et courtises les rayons du soleil,
Qui se posent sur ta bouche humide, au goût de miel,
Et que ses baisés s’ éternise, sous l’ onirique lumière.

Ton corps attise le regard qui s ‘émerveille.
Que l’on aimerais prendre dans ses bras,
Pour le bercer, avant de trouver le sommeil.
Afin de gravir les pentes bénis, et retrouver le sourire de ton âme.

Dans la nuit parsemer d’étoiles.
Devant tant de grâce, je suis sous l’attrait de ton pouvoir
Une étoile filante est venu, à moi
M’apporter t’ on message d’amour, de paix et de foi !

Auteur : le voyageur des arts (Tilliet José )
Écrit le 13.03.2010

vendredi 12 mars 2010

<<< La porte de l'aude-là >>>


Photo prise par xenadu14

La porte de l’au de la

Une porte, une poignée, une serrure, un pas !
Mais pas de clé pour franchir de l’autre côté.
Dans cette prairie il y a la mémoire d’ un mage.
Métaphore de la lumière, à l’infinité de la vie qui passe.

Pourtant, j’entends les voix sacrés,
Dans la nuit du silence enveloppé.
Ou glisse furtivement les pas des damnés.
Quel secret veulent t’ ils garder.

Peut on effacer ses traces.
En verrouillant la porte à double tours.
En attendant que quelque un passe.
Dans l’immensité de l’au de la, entre la nuit et le jour.

Porte des secrets, porte divine.
Ceux qui la franchissent.
Aurons le pouvoir médiatique.
Jusqu’à la fin de leurs vie.
Afin de protéger, les êtres fragiles.

Peut on mourir ? Pour s’envoler dans le voyage éternel.
Pour renaître dans ce monde parallèle.
Voir on fond de leurs yeux, une nouvelle étincelle.
En attendant que fleurisse dans les champs, les douces pâquerettes.

Auteur : le voyageur des arts (Tilliet José )
Écrit le 12.01.2010

jeudi 11 mars 2010

<<< Le sabotier >>>


Vieille Enseigne de la maison du sabotier a la charité-sur-Loire



Le sabotier !

En me promenant dans les vielles rues.
Du village de la Charité-sur-loire.
Devant l’échoppe du sabotier .
En face, sur le trottoir j’étais ému.

Je me suis mis à revivre l’histoire.
La vie de cet artiste dans son atelier.
devant tant de beauté, Je suis resté en émoi.
Le voir fabriquer des sabots pour la marier.

Un petit tour dans les méandres secrets.
Des vieux murs, rongé par les années.
Les volets maintenant fermé.
J’aurais aimé faire ce métier, le perpétuer.

Porteur d’un message du savoir.
Du travail bien fait, fais de demande par les villageois.
D’échange, contre du pain noir.
Autrefois , sur les bords de la Loire.

Texte de Joshartypico (José Tilliet)
Écrit le 11.03.2010

lundi 8 mars 2010

<<< le monde à l'envers >>>



Le monde à l’envers !

Au bout d’une petite ruelle,
J’ai vu ce magasin en vielles pierres.
Sur le bois fatigué de cette enseigne,
il est écrit : le monde à l’envers.

J’ai voulu ouvrir la porte vitré,
Elle était fermé, condamné.
Depuis combien d’années,
La chaleur d’une vie, n’était pas entré ?

Dans ce monde à l’envers.
il y a très longtemps,
Pendant des ans, un poète,
écrivait dans la solitude et le silence.
Sa vie ses voyages, ses rêves.

Puis il est partis pour son dernier voyage.
La vie c’est arrêté là , sur la poussière.
Derrière cette porte, Il a laissé ces bagages.
Définitivement Il ne partiras plus en balade.

Maintenant je sais ce qu’il y à dans cette pièce.
Je détient le secret, pour ouvrir, cette porte temporel.
Fermé à jamais sur une présence irréel.
Plonger dans le monde des ténèbres.

Vous aussi, si vous voulez percé ce mystère.
Je vous invite à me demander la clé.
Pour entrer dans ce temps immortel,
Si vous le désiré, Vous le pourrez , car j’y déjà suis allé !

Comme moi, vous verrez ce poète,
Écrire, sa vie, ses voyages, ces rêves.
Dans la solitude et le silence,
Sans violence, sans haine, sans misère.

Texte de Joshartypico (José Tilliet)
Écrit le 08.03.2010

dimanche 7 mars 2010

<<< Luminescence >>>



Photo prise avec mon téléphone portable !

Éclairer donc ma lanterne !
Pour rendre le monde moins terne !
Aujourd'hui je suis la reine !
Pour vous rendre la vie sereine

jeudi 4 mars 2010

<<< Fontaine je ne boirais plus de ton eau >>>


Photo prise par Xénadu14 pendant son séjour chez moi !

Venez dans ma tite bourgogne ! sur, il n'y à, pas que l'eau à boire !
mais du bon tit pineau noir sortie du fond de mon terroir,
avec du pain, du saucisson, du jambon, et du frometon !
Et pendant que vous en mettrez plein la panse,
je vous accompagnerais en vous chantant une tite chanson !

mardi 2 mars 2010

<<< la Porte de l'éternité >>>


Photo prise avec mon téléphone portable

Mais !!! Qui ce cache derrière cette porte ? ? ?
Est-ce les spectres du passé ? que sais-je ?
J'aimerais bien percer ce mystère !

Pourtant j'ai vu la silhouette matière Morte !

<<< Dring ! Dring ! Dring ! >>>


Photo prise avec mon téléphone portable.
Dring ! Dring ! Dring ! mais c'est un farceur qui à sonné !
Cela ne m'a pas réveillé car il n'y a plus d"électricité
.
Depuis longtemps que le courant est coupé.
Car la facture EDF je ne l'ai pas payé !

<<< toc ! toc ! toc ! >>>


Photo prise avec mon téléphone portable.

toc ! toc ! toc ! entré !
Dans mon antre !
Ce nouveau blog sera consacré uniquement
aux photos, parsemé de Poésie.
Au gré du vent et de mes envies.